Votre recherche

Au-delà de la critique de la sophistique, premier thème du dialogue, c'est le problème de l'être et du non-être qui est débattu, avec pour conclusion la ruine de l'axiome de Parménide.

Socrate pose ici les fondements d'une pensée qu'il développera plus tard dans le Phédon : le pouvoir, les richesses, le prestige et les plaisirs, obtenus par des moyens intellectuellement douteux, ne peuvent apporter le bonheur.

Ouvrage composite laissé inachevé par Platon, il est considéré comme le complément de La République, comme la tentative de bâtir concrètement une cité juste. Anissa Castel-Bouchouchi propose ici une anthologie thématique des grands thèmes des Lois (les vertus, la loi, la politique, la société, l'éducation, les arts et les sciences, la religion) dans une traduction nouvelle.

Ces deux dialogues mettent face à face Socrate et le sophiste Hippias. Le premier est consacré au beau et montre un Hippias aux paroles insensées. Le second est centré sur le mensonge et sur la compétence en art et en moralité.