Silence, on cogne Texte imprimé : enquête sur les violences conjugales subies par des femmes de gendarmes et de policiers
Editeur
Paris : Grasset , 2019
Chaque année, des femmes meurent sous les coups et les balles de leur conjoint policier ou gendarme alors qu'elles avaient alerté l'institution à laquelle ils appartiennent. Parce que l'homme qui leur nuit est assermenté, porte une arme, connaît les procédures, et peut être protégé par les siens, elles sont réduites au silence. Menaces, disparitions de plaintes, absence de sanction hiérarchique...