La prescription à l'âge du papier, c'était un avis autorisé; à l'âge numérique, on parle plus volontiers de recommandation. Dans tous les cas, une personne, au moins, cherche à partager son intérêt ou davantage pour un sujet ou une oeuvre donnée. Cette intention d'influence, ce soft power disséminé, se retrouve aussi bien chez les booktubers que chez les lecteurs de la Renaissance, elle passe de bouche-à-oreille, par la presse, les médias audiovisuels, le web ou les bibliothèques, elle concerne aussi bien les mauvais genres que les musées les plus institutionnels.