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Les dauphins se désignent par leurs noms et les orques vivent selon une culture vieille de sept cent mille ans. Les canetons réussissent des tests compliqués de pensée abstraite, les escargots trouvent du plaisir à se livrer à un peu de jogging dans des roues de hamster. Les chiens punissent la déloyauté, mais sont capables de pardonner si l'on s'excuse. Les araignées choisissent leur statut en fonction de leur personnalité et de leurs préférences individuelles.

Mais que peut-on réellement faire pour maintenir le réchauffement climatique sous la barre des 2?C à l'horizon 2100 ? L'expert du climat Christof Drexel s'est penché sur la question et parvient à cette conclusion : on peut faire beaucoup. Chaque personne peut réduire d'environ un tiers ses émissions de CO2, simplement en adoptant un mode de vie responsable ? et ainsi atténuer la dégradation du climat et des écosystèmes.

Publié en 1947 en Allemagne, vendu à plus de 100 000 exemplaires, Berlin finale est l'un des premiers best-sellers post-Seconde Guerre mondiale. Une oeuvre passionnante, haletante, audacieuse, qui a su, alors que l'Europe se relevait à peine de la guerre, décrire dans toute sa complexité le rapport des Berlinois au nazisme. Jusqu'alors inédit en France, un roman-reportage brillant qui nous raconte, à travers les destins d'une poignée de résistants, les derniers jours de Berlin avant sa chute. Un texte majeur, un Vintage événement.

Le dîner s'annonce parfait, l'hôtesse y a soigneusement veillé. Autour de la table danoise ornée de bougeoirs chinés aux puces, les convives ont le bon goût d'éviter tout sujet trop peu consensuel, préférant afficher leur soutien à la cause féministe ou à celle de l'environnement. Mais bientôt, les langues se délient et les personnages finissent par s'abandonner à leurs sens, entraînés par le crémant d'Alsace qui coule à flots. Le dîner dégénère en un banquet de plus en plus loufoque et débridé où les masques tombent, pour notre plus grand bonheur.