Editeur
France : L'autre distribution , 2020
Description
1 disque compact. : 00:44
Sujets
EAN
3521383461433
Contient
Résumé
Après trois années d'aventures artistiques avec le trio DADADA et un premier album, intitulé " Saison 3 ", produit par le prestigieux Label Bleu en 2017, Roberto Negro, pianiste et compositeur poursuit son audacieuse avancée musicale dans les chemins inattendus avec un tout nouveau répertoire intitulé " Papier Ciseau ". Avec ses thématiques nocturnes et oniriques aux fluctuations imperceptibles et un certain goût pour la surprise, Saison 3 de DADADA fascinait par ses jeux de timbres, ses tonalités mystérieuses et son utilisation d'effets électroniques subtils, particularités que nous retrouvons dans les compositions de ce nouveau répertoire. Un saxophone miraculeusement habité ; un piano fabuleusement décliné ; un percussionniste en chorégraphe sensualiste et pour ce nouvel opus, un bassiste brûlant, l'équipe de Papier Ciseau part dans une quête musicale essentialiste. A travers ses compositions, Roberto Negro nous invite aux mémoires de l'enfance et à l'aventure de l'apprentissage. Sur un chemin insolite et parfois déroutant, où perception et découpe du temps paraissent par moments incontrôlés, la musique nous transporte dans un univers décliné par des mélodies tantôt ludiques, tantôt naïves et parfois franchement étourdissantes et électriques.
Récompense
Choc Jazzman, Must TSF Jazz, 4 clés Télérama, Indispensable Jazznews
Papier ciseau... boum, badaboum ! Revoici Roberto Negro, le pianiste le plus gosse du jazz français. Les gosses, ça joue et ça poétise, ça malaxe les matières, juste pour s'amuser. Des fois, c'est mal élevé, aussi. Prenez Lime, le premier titre de ce disque réjouissant et aussi instable qu'une charge de TNT. Tout commence par un jet de lumière agressive, comme une salle dont les globes s'allumeraient d'un coup. Suit une mélodie au piano suspendue très haut et puis tout se détraque, le trapéziste manque son saut, des singes font la grimace et l'affaire finit chez les fous.Du pur Negro. Non que les lignes simples l'irritent ou l'inquiètent, mais il faut toujours que le hasard et ses zigzags reprennent un peu leurs droits. En Valentin Ceccaldi (ici à la basse), Émile Parisien (saxophone) et Michele Rabbia (batterie), le pianiste a trouvé des aimants exemplaires, prêts à adhérer à ses régressions (Apotheke et ses sons de jeux électroniques d'avant guerre) ou à mettre à distance ses ironies par leurs propres farces et attrapes. Pour cultiver sans trop de dissimulation les joies d'une forme d'anarchie, le jeu n'a rien de vulgaire ou de bête. Si le « papier ciseau » de Negro demeure insaisissable, il ressortit à coup sûr à un grand art naïf. - Télérama - Louis-Julien Nicolaou - 17/11/2020
Pianiste incroyable. - Jazz Magazine
Papier ciseau... boum, badaboum ! Revoici Roberto Negro, le pianiste le plus gosse du jazz français. Les gosses, ça joue et ça poétise, ça malaxe les matières, juste pour s'amuser. Des fois, c'est mal élevé, aussi. Prenez Lime, le premier titre de ce disque réjouissant et aussi instable qu'une charge de TNT. Tout commence par un jet de lumière agressive, comme une salle dont les globes s'allumeraient d'un coup. Suit une mélodie au piano suspendue très haut et puis tout se détraque, le trapéziste manque son saut, des singes font la grimace et l'affaire finit chez les fous.Du pur Negro. Non que les lignes simples l'irritent ou l'inquiètent, mais il faut toujours que le hasard et ses zigzags reprennent un peu leurs droits. En Valentin Ceccaldi (ici à la basse), Émile Parisien (saxophone) et Michele Rabbia (batterie), le pianiste a trouvé des aimants exemplaires, prêts à adhérer à ses régressions (Apotheke et ses sons de jeux électroniques d'avant guerre) ou à mettre à distance ses ironies par leurs propres farces et attrapes. Pour cultiver sans trop de dissimulation les joies d'une forme d'anarchie, le jeu n'a rien de vulgaire ou de bête. Si le « papier ciseau » de Negro demeure insaisissable, il ressortit à coup sûr à un grand art naïf. - Télérama - Louis-Julien Nicolaou - 17/11/2020
Pianiste incroyable. - Jazz Magazine
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