Editeur
Paris : Librairie générale française , impr. 2009 ; 45-Malesherbes : Maury impr.
Description
1 vol. (440 p.). : couv. ill. ; 18 cm
Collection
ISBN
978-2-253-08464-8
Résumé
Son unique obsession était la peinture : elle était son souffle, son sang. Quand Nicolas de Staël (1914-1955) se donna la mort, à quarante et un ans, il laissait plus de mille tableaux, autant de dessins, et l'énigme d'une vie menée au galop. Insolent et généreux, Staël savait masquer sous le rire les failles d'une enfance brisée par la révolution russe de 1917 et les rigueurs d'un exil polonais. La reconnaissance arriva des Etats-Unis, alors qu'il avait trente-neuf ans. Trop tôt ou trop tard : il s'était déjà réfugié en Provence, écrasé de gloire, fraternisant avec René Char, brûlant sa vie. Sa morale tenait en quelques mots : " Il faut travailler beaucoup, une tonne de passion et cent grammes de patience. " Voici la chevauchée de ce prince foudroyé.
Notes
Bibliogr. p. 373-427. Index
Situation