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Vingt-cinq siècles de philosophie font un trésor inépuisable. Donner l'envie d'aller y voir de plus près et aider le lecteur à y trouver du plaisir et des lumières, constitue l'objectif principal de cet essai philosophique dans lesquel A. Comte-Sponville présente sa vision personnelle de douze thèmes majeurs : la morale, la politique, l'amour, la mort, la connaissance, la liberté...

Vivre se fait toujours au présent. L'auteur propose une réflexion autour de ce verbe qui annihile tous les autres en cherchant comment sortir d'un immédiat sans pour autant y renoncer, comment faire émerger ce vivre en apprenant à ne plus en diluer la présence dans un temps étale qui n'est pas celui de la vie.

M. Henry prolonge et approfondit la phénoménologie de la vie qui faisait l'objet de ses précédents livres, en particulier de C'est moi la vérité. Il fait aussi une relecture critique de la tradition phénoménologique, de Husserl à Merleau-Ponty.

Rédigé en français, en 1714, à l'intention du prince Eugène de Savoie, ce texte voulait être, pour Leibniz, le résumé de son système philosophique. La notion de "monade" renvoie à une nécessité morale inhérente à la réalisation du meilleur; de ce concept, Leibniz fait procéder l'explication de la liberté humaine.

Le XXe siècle a connu un essor sans précédent de l'activité philosophique vouée aux mathématiques. Elle a trouvé en 1925 sa forme canonique dans le débat de trois écoles : le Logicisme de Frege amplifié par Whitehead et Russell, le Formalisme de Hilbert et l'Intuitionnisme de Brouwer. Si la pensée mathématique s'est divisée en trois courants principaux, c'est d'abord parce qu'elle a subi le Choc de Cantor, causé par sa découverte du Transfini que suffit à peine à contenir sa Théorie des Ensembles.