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Elisabeth réussit à faire venir au château maître Cornélius, un magicien qui raconte des histoires à l'aide de lanternes magiques. Hélas, le jour même, le superbe collier de perles de Mme de Marsan disparaît. La gouvernante l'a-t-elle perdu, ou le lui a-t-on volé ? Si élisabeth a toute confiance en ses amis, elle n'ose pas accuser trop vite le magicien... Mais Mme de Marsan est furieuse ! Et elle n'hésite pas à accuser Mme de Mackau de négligence ! La sous-gouvernante risque de perdre sa place et élisabeth est déterminée à la sauver.

Alors que la famille royale est exilée au château de Choisy pour échapper à une épidémie de variole, Elisabeth est très inquiète : le roi Louis XVI, son frère, a décidé de se faire inoculer la maladie afin d'en être protégé et de montrer l'exemple à son peuple. N'est-ce pas dangereux ? Au même moment, Elisabeth et ses amis découvrent au château de Trianon le troisième et dernier automate qui peut les mener au tableau La Dame à la rose, volé à la famille de Théo de Villebois. Suivre l'ange est le message caché dans cet automate, mais de quel ange s'agit-il ?

Après le départ de Rose Bertin, la couturière venue présenter ses nouvelles robes d'automne à Marie-Antoinette, cette dernière s'aperçoit de la disparition d'une lettre de son ami, Axel de Fersen, parti à la guerre aux Amériques. Afin de sauver l'honneur de la reine, Roselys tente de démasquer le coupable et de retrouver le précieux document. Electre 2014

Roselys vit désormais à Versailles. Malgré l'ambiance pesante de la Cour et son étiquette si rigide, la jeune fille mène une vie plutôt agréable parmi les intimes de la reine. Elle chante pour Marie-Antoinette, qui n'hésite pas à lui confier de petites missions secrètes. Un matin, en ville, Roselys est témoin d'un grave accident : le blessé, mourant, lui confie un curieux médaillon d'argent, en ânonnant des mots énigmatiques : "clé... blanche... " ...

Au plus grand désarroi d'Elisabeth, Mme de Marsan est de retour à la Cour et exige de reprendre ses fonctions de gouvernante. Bien sûr, Mme de Guémené s'y oppose, si bien qu'au château de Fontainebleau, la tension est palpable... Alors que la princesse, d'humeur rageuse, se rend chez sa belle-soeur la reine, elle est percutée de plein fouet par un grossier personnage, qui ne s'en excuse même pas. L'individu s'appellerait Séraphin Bellerose...

Versailles, 1774. Elisabeth, 11 ans, soeur de Louis XVI, se lie d'amitié avec Angélique de Mackau, la fille de sa nouvelle gouvernante, engagée pour lui inculquer discipline et rigueur. Elles mènent l'enquête pour découvrir le destinataire d'un billet dissimulé dans l'automate d'Elisabeth et tenter de retrouver un tableau disparu depuis plus de trente ans. Théo, le jeune page, leur vient en aide.

Une nuit, Elisabeth est réveillée par des cris. Elle se précipite à la fenêtre de sa chambre et assiste, impuissante, à l'enlèvement d'une jeune femme par deux individus vêtus de noir. Elle appelle au secours mais il est déjà trop tard... Le lendemain, quand elle raconte la scène à son entourage, les adultes peinent à la croire. Ils mettent cette vision nocturne sur le compte du puissant médicament que la princesse a pris la veille, pour soulager une douleur dentaire. Toutefois, lorsque Colin découvre un message codé sur le lieu du crime, le doute n'est plus permis !

Mme de Guémené oblige Elisabeth à suivre des cours de maintien. Quelle corvée ! Malgré les talents de sa professeure, danseuse professionnelle, la princesse peine à se concentrer. Son esprit est ailleurs, préoccupé par une affaire autrement plus trépidante qu'apprendre à marcher avec grâce... Dans un livre d'occasion, Elisabeth et ses amis ont en effet découvert une vieille lettre chargée de mystère...