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Permet aux enfants d'observer et de réfléchir sur l'existence des animaux dans l'air et dans l'eau, sur leurs différences, leurs émotions, etc.

A travers l'évocation de créatures telles que la bête du Gévaudan, le Sphinx ou le Léviathan, l'auteur tente de comprendre comment les monstres sont le produit de récits, de désirs et de peurs, et cherche les raisons qui qualifient certains actes de monstrueux.

Permet de découvrir les différents aspects de la conversation, son mode de fonctionnement au sein de la société, ses principes de base, et son évolution.

Une approche philosophique de la mixité et de l'égalité entre les filles et les garçons

Met à disposition des jeunes lecteurs les problématiques relevant de la foi et de Dieu en tant qu'enjeu des conflits contemporains. Interroge les guerres menées au nom de Dieu et leur possible fin.

L'étranger, c'est celui qui vient du dehors, de l'extérieur. Il est autorisé à circuler, séjourner ou résider dans notre pays, où il est en situation irrégulière. Il ne parle pas notre langue, ne partage pas notre mode de vie. Le touriste, l'étudiant, le réfugié ou l'immigrant ont des parcours différents dans le pays qui les accueille, mais ils ont en commun le sentiment de perdre leurs propres repères, leurs façons de faire, leurs manières de vivre, et la nostalgie de leur pays d'origine...

A travers les propos d'un enfant conversant avec sa grand-mère et son meilleur ami, des questions sur la notion de responsabilité sont abordées, ainsi que la citoyenneté et le rôle actif de chacun dans la société.

Une approche philosophique du thème de la guerre, qui interroge sur un monde sans guerres, sur la guerre en tant que manifestation de l'agressivité naturelle ou liée à la vie en société, et répond aux questions sur les évolutions des guerres et leur essence.

Méchant ! Les enfants n'ont que ce mot à la bouche mais qu'est ce qu'un " méchant ", ou plutôt qui est méchant et pour quelles raisons ? Question très compliquée. La haine et le mépris sont les grands ressorts de la méchanceté, mais celle-ci semble impliquer aussi un choix. Le " méchant " n'a pas seulement l'habitude de faire souffrir, de tourmenter, d'humilier : il s'y est habitué, et il " assume ". Mais est-il possible, en toute/conscience, de faire le choix de la méchanceté ?