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Ces trois nouvelles qui mettent en scène le commissaire Adamsberg confronté à des sans-abri permettent de suivre l'évolution du personnage au fil du temps.

Adamsberg doit se rendre à Londres pour participer à un colloque. Le jeune brigadier Estalère et Danglard, qui est effrayé à l'idée de passer sous la Manche, font également partie du voyage. Un événement macabre alerte Radstock, leur collègue de New Scotland Yard.

Au coeur de la Brigade criminelle, le commissaire Adamsberg vaque à ses occupations, secondé par son équipe : les fidèles Veyrenc, Danglard, Retancourt, Mercadet... Une petite dame âgée attend le commissaire sur le trottoir. Elle vient de Normandie. Ils n'ont pas rendez-vous, mais il n'y a qu'à Adamsberg qu'elle veut parler. Une nuit, dans son village, sa fille a vu l'Armée furieuse , cette cohorte de morts vivants qui vient enlever les mauvaises personnes. Cette vieille légende est le signe que de multiples assassinats vont se produire.

''Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?'' Ça amuse les Parisiens. Depuis quatre mois, cette phrase accompagne les cercles qui surgissent à la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de la ville ; au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, yaourt, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite ''suintent'' la cruauté.