Editeur
France : L'autre distribution , 2019
Description
1 disque compact.
Sujets
EAN
3760085430679
Contient
Résumé
Stéphan Oliva avait marqué les esprits avec son premier trio en compagnie de Claude Tchamitchian et Jean-Pierre Jullian puis avec son trio mémorable composé du légendaire batteur americain Paul Motian et du contrebassiste Bruno Chevillon. Le désir de revenir à sa formule de prédilection s'est concretisé avec la formation de ce trio collectif en mai 2016 lors d'un concert-creation à l'Europa Jazz Festival du Mans. Accompagné par Sebastien Boisseau l'un des contrebassistes les plus actifs de la scène jazz européenne et du batteur New-Yorkais Tom Rainey, Stéphan Oliva poursuit son oeuvre du trio. Oliva, Boisseau et Rainey, connaissent ces échangestriangulaires qui jalonnent leurs parcours. Ils ont joué avec differents maitres du trio pianobasse-batterie tels que Paul Motian, Fred Hersch, Kenny Werner, Joachim Kuhn... Ils ont également en commun des collaborations avec le guitariste Marc Ducret. Pas surprenant donc que ces trois musiciens des plus chevronnés choisissent la formule reine des orchestres de jazz pour combiner leurs experiences et leurs conceptions du son, du rêve, de la puissance ou du drame. Aujourd'hui, c'est naturellement qu'ils se retrouvent pour enregistrer le fruit d'un travail qui a muri sur scène et qui annonce un programme passionnant.
Récompense
Choc Jazzman, Télérama 4 clés
Un événement dans le trio jazz.Le plus beau concert de jazz "100% pur jus de la semaine !" (à propos de Stéphane Boisseau) - Jazz Magazine
Orbit est un trio remarquable, potentiellement stratosphérique. - Culture Jazz
Tom Rainey oscille entre l'avant-garde et l'ancrage historique au jazz, et quand il joue, l'odeur de l'invention vous enivre - Los Angeles Times - Joseph Woodard
Un pianiste aux doigts de Bill Evans (à propos de Stéphan Oliva) - le Monde
Les mots ont une force de pénétration inattendue, comme une vie musicale qui se poursuit bien au-delà de leur utilité première. Les musiciens réunis dans ce disque ont choisi de le baptiser Orbit en jouant sur leurs initiales : Stéphan Oliva (piano), Tom Rainey (batterie) et Sébastien Boisseau (contrebasse), cela formait ORB, il ne restait qu'à ajouter les premières lettres d'International Trio, le tour était joué. Mais une fois lâché, le mot ne cesse plus de courir à travers les sons. Courbe ou ellipse, gravitation ou cavité, l'orbite nous plonge dans l'espace, le mouvement perpétuel et le vide. Elle engendre et polarise ces tensions maintenues, escaliers sans commencement ni fin, stations et rotations sur soi, serpentins qui se déroulent pour s'enrouler tels des rubans de Möbius par où la musique d'Orbit advient.On savait les très grandes qualités de Stéphan Oliva, appréciées notamment dans ses disques en solo consacrés aux bandes originales de Bernard Herrmann, de la Nouvelle Vague et des films noirs (on retrouve ici un Gene Tierney, plus loin un Polar blanc). Mais ce discours en trio, si complexe, scintillant de tels éclairs d'harmonie paradoxale nous révèle, en lui comme en Sébastien Boisseau, des compositeurs encore plus fascinants. - Télérama - Louis-Julien Nicolaou - 07/05/2019
Un événement dans le trio jazz.Le plus beau concert de jazz "100% pur jus de la semaine !" (à propos de Stéphane Boisseau) - Jazz Magazine
Orbit est un trio remarquable, potentiellement stratosphérique. - Culture Jazz
Tom Rainey oscille entre l'avant-garde et l'ancrage historique au jazz, et quand il joue, l'odeur de l'invention vous enivre - Los Angeles Times - Joseph Woodard
Un pianiste aux doigts de Bill Evans (à propos de Stéphan Oliva) - le Monde
Les mots ont une force de pénétration inattendue, comme une vie musicale qui se poursuit bien au-delà de leur utilité première. Les musiciens réunis dans ce disque ont choisi de le baptiser Orbit en jouant sur leurs initiales : Stéphan Oliva (piano), Tom Rainey (batterie) et Sébastien Boisseau (contrebasse), cela formait ORB, il ne restait qu'à ajouter les premières lettres d'International Trio, le tour était joué. Mais une fois lâché, le mot ne cesse plus de courir à travers les sons. Courbe ou ellipse, gravitation ou cavité, l'orbite nous plonge dans l'espace, le mouvement perpétuel et le vide. Elle engendre et polarise ces tensions maintenues, escaliers sans commencement ni fin, stations et rotations sur soi, serpentins qui se déroulent pour s'enrouler tels des rubans de Möbius par où la musique d'Orbit advient.On savait les très grandes qualités de Stéphan Oliva, appréciées notamment dans ses disques en solo consacrés aux bandes originales de Bernard Herrmann, de la Nouvelle Vague et des films noirs (on retrouve ici un Gene Tierney, plus loin un Polar blanc). Mais ce discours en trio, si complexe, scintillant de tels éclairs d'harmonie paradoxale nous révèle, en lui comme en Sébastien Boisseau, des compositeurs encore plus fascinants. - Télérama - Louis-Julien Nicolaou - 07/05/2019
Situation