La période de la Toussaint est l’occasion de s’offrir une petite frayeur. C’est l’opportunité idéale pour revisiter les classiques du cinéma et de la littérature d’horreur ou le moment rêvé pour se plonger dans des nouveautés dont vous avez entendu parler et que vous n’avez pas encore eu le temps de voir.
Sans plus tarder, les bibliothécaires du Châtelet vous proposent leur sélection de films pour Halloween pour les petites peurs ou les grosses frayeurs.
© David Simmonds Flickr CC
La Route (DVD)
Paris : Metropolitan/Seven 7 , 2009
Il y a maintenant plus de dix ans que le monde a explosé. Personne ne sait ce qui s'est passé. Ceux qui ont survécu se souviennent d'un gigantesque éclair aveuglant, et puis plus rien. Plus d'énergie, plus de végétation, plus de nourriture... Les derniers survivants rôdent dans un monde dévasté et couvert de cendre qui n'est plus que l'ombre de ce qu'il fut.
Bienvenue à Zombieland (DVD)
: Sony Pictures , 2010
Dans un monde infesté de zombies, deux hommes tentent de survivre. Columbus, le plus jeune, est terrorisé à l'idée d'être dévoré. C'est une poule mouillée, mais sa prudence pourrait bien lui sauver la vie... Tallahassee, lui, est un chasseur de zombies qui ne craint plus rien ni personne. Armé d'un fusil d'assaut, il se donne corps et âme à la seule mission qui compte pour lui : trouver les derniers exemplaires de ses biscuits préférés, des Twinkies, encore disponibles sur Terre.
28 jours plus tard [DVD]
: 20th Century Fox , 2002
Résumé : A Londres, un puissant virus sorti d'un laboratoire condamne les individus infectés à un état de rage meurtrière. La contamination se répand à une vitesse fulgurante et les rares rescapés se terrent pour échapper aux contaminés assoiffés de violence... La population a été évacuée en masse et Londres n'est plus qu'une ville fantôme. C'est dans ce contexte que Jim sort d'un profond coma dans un hôpital désert...
La Nuit des morts-vivants DVD
[s.l.] : RDM Edition , 1968
Avis du bibliothécaire : Premier long métrage de Georges A. Romero, ce film d'horreur en noir et blanc a fait frissonner toute une génération de cinéphiles. Tourné comme un film d'amateur, les frissons que l'on ressent ne sont pas provoqués par des effets spéciaux ou une abondance d'hémoglobine mais par le mode de narration et un réalisme froid et objectif. Mais, comme dans la plupart des films de Romero, la critique politique de la société américaine transparaît tout au long du film et notamment à la fin...